Suite au Naufrage du Costa Concordia, Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement et Thierry Mariani, ministre chargé des Transports, ont rappelé la réglementation qui encadre le transport maritime de passagers en France et en particulier les mesures très précises de contrôle des navires.
S’agissant des navires battant pavillon étranger, la France assure un contrôle systématique des navires qui font escale dans les ports français. De plus, un système d’information centralisé prévoit le partage à l'échelle de l'Union européenne et de ses partenaires de toutes les informations relatives aux navires faisant escale dans les ports européens et aux contrôles qu'ils ont subis. Par ailleurs, le ciblage des navires, la périodicité des inspections et le type d'inspection, sont totalement harmonisées au niveau de l’Union européenne. Enfin, les inspections sont opérées "24h sur 24h et 7 jours sur 7". Les deux ministres concluent : "en application de la réglementation française et européenne, le navire Costa Concordia avait ainsi fait l’objet de six inspections, depuis sa mise en service en 2006. Les inspections n’avaient révélé aucune déficience technique sur ce navire récent.
Transport
Pour Nathalie Kosciusko-Morizet et Thierry Mariani, le Concordia ne présentait aucune déficience technique
