Affaire Marsans : Des touristes français retenus en Republique Dominicaine

"Nous avons pu les reloger dans des établissements de catégorie équivalente". Il s'agit d'éviter que les clients ne soient pas accueillis dans les hôtels : "Même s'il est réglé, il peut refuser le client, pour un autre qui serait parti sans payer".  En effet, les réactions que nous recueillons sur notre site démontrent que certains clients vivent, sur place, des moments difficiles. La mère d'une cliente, que nous avons contacté, raconte la mésaventure de son fils et sa belle-fille : "Ils devaient repartir ce soir de Bayahibe en République Dominicaine. Je viens d'avoir des nouvelles. A la suite de l'annonce de la faillite de Marsans, l'hôtel, le Viva Wyndham Dominicus palace leur a, jeudi soir, interdit l'accés à leur chambre et à tous les restaurants. Ils ont appelé la police. On leur a coupé leur bracelet et ils n'ont sans doute plus accès à leur papiers d'identité". Elle raconte, quelques heures plus tard : "J'ai enfin pu obtenir de l'agence "Croque Vacances" qu'elle envoie à l'hotel le représentant d'un tour-opéraeur avec lequel elle collabore afin de régler les factures dues. La personne que j'ai eu m'a indiqué que cette procédure ne concernait que mon fils et sa compagne, qui avaient effectué leur réservation chez eux. Je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres vacanciers". Un agent de voyages, qui a réagi sur notre site,  raconte la même histoire : "Nos clients nous ont contactés dans l'après-midi. Ils sont pris en otage par l'hôtelier "Hotel grand Oasis" qui ne veut pas les laisser partir pour l'aéroport .Nous devons régler la partie terrestre à l'hotelier directement par carte bleue !"