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Destinations

Easyvoyage a mesuré l'impact des évènements géopolitiques sur le choix des destinations

Easyvoyage a interrogé a mené une enquête auprès de ses Internautes pour mesurer l'impact de la géopolitique sur les choix de voyages.

Dans le détail, 71,7% des sondés déclarent que l'élection de Donald Trump n’aura pas d’incidence sur leur projet de voyage aux Etats-Unis. Ils sont 26% à déclarer que ce changement de politique va "modifier leur plan" alors qu’ils n’auraient été que 1,4% si Hilary Clinton avait été élue.
Plus près, les pays du Magreb sont toujours mis en quarantaine. Certains pays, autrefois plébiscités, tels que l’Egypte et la Tunisie, payent le prix fort de leur instabilité : 70,4% des sondés déclarent avoir privilégié d’autres destinations depuis le printemps arabe. D’ailleurs, 73,4% des Français déclarent qu’ils ne sont pas prêts à voyager en Egypte cet hiver. D’autres (10,6 %) n'opteraient que pour des séjours balnéaires ou des croisières, évitant la capitale et le Sinaï. 16% sont prêts à voyager partout dans le pays.
68 % des internautes déclarent que le Brexit ne change en rien leurs projets de voyage en Angleterre et 14,2% comptent même s’y rendre plus souvent (le taux de change rendant la destination plus intéressante). Malgré tout, 17,9% sont prêts à renoncer au pays, ne soutenant pas leur choix d’avoir quitté l’Union Européenne.
En Thaïlande, à la suite du deuil national, seuls 27% pensent qu'un voyage mérite d’être reporté, n’ayant pas grand intérêt sans les festivités. Enfin 15,3% restent assez partagés et passeront moins de temps que prévu en Thaïlande. Les récentes frictions franco-russes semblent, en revanche, clairement diviser les Français : 56,4% déclarent que ces évènements ne vont pas remettre en question leur volonté d’aller visiter le pays, ayant toujours rêvé d’y aller. Presque la moitié des internautes adoptent la position inverse, et ceux-ci pour deux raisons : 23% car ils boycottent le régime de Vladimir Poutine et 20,6% car ils ont peur d’être "mal accueillis"
Plus récemment, la politique autoritaire du nouveau président philippin, Rodrigo Duterte, a une influence certaine sur le tourisme : 60,8% des voyageurs se sentent découragés par ce régime qui les effraie. A contrario, ils sont 27,8% à déclarer que cela n’a pas d’impact sur leur intention de s’y rendre et 11,4% sont prêts à tout pour y aller, ayant toujours rêvé de visiter le pays.
Pour terminer, la Turquie qui en plus des frontières avec la Syrie, vit en ce moment un basculement avec Erdogan voit aussi son attrait touristique s’effriter. En effet, le sondage révèle que 66,4% des sondés ne partiront pas en vacances là-bas. 18,5% des sondés seraient tout de même prêts à se rendre dans certaines zones touristiques, éloignées des frontières, alors qu’une minorité (15%) pense que la situation géopolitique n’aura pas d’impact sur leurs projets de voyage.
Malgré l’amélioration des relations franco-iraniennes, l’Iran reste encore une destination qui doit faire ses preuves auprès des voyageurs. En effet, si 37,2% des internautes sont tentés d’aller visiter le pays (principalement pour sa richesse culturelle), ils sont 62,5% à boycotter encore la destination et ceci pour plusieurs raisons : 55,4% des sondés ne conçoivent pas qu’une femme doive se couvrir le corps et 7,4% sont effrayés par les essais nucléaires du pays. Du côté de la Colombie, le traité de paix entre le gouvernement Colombien et les Farcs n’a pas permis de rassurer suffisamment les voyageurs qui sont 54,4% à estimer que le pays est encore trop dangereux pour s’y rendre. 37,4% pensent néanmoins que la situation est rassurante et 8,2% ont déjà visité ce pays (n’ayant pas attendu cet accord pour s’intéresser de près à cette destination).
Depuis la reprise des relations diplomatiques avec les Etats-Unis, Cuba vit une véritable ascension touristique : 80% des sondés se sentent ainsi encouragés à visiter le pays depuis la levée d’embargo, 50,6% parce qu’ils souhaitent visiter le pays avant qu’ils ne soient transformé et 32,2% parce qu’ils souhaitent que la population locale bénéficie de l’essor lié au tourisme. D’autres plus sceptiques, 17,2%, pensent que Cuba va perdre son âme et devenir une station balnéaire prisée par les Américains.
 
 
 
 

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  • La Rédaction
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