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Courrier aux adhérents d'AS : "Du grand Jean-Pierre avec une bonne dose de désinformation"

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Visé dans un courrier (voir ci-dessous) par Jean-Pierre Mas, co-président d'AS Voyages, François-Xavier de Boüard, ancien co-président du réseau, répond à son détracteur.
"Venant de lui, cela ne m'a pas choqué. C'est du grand Jean-Pierre avec une bonne dose de désinformation. Du grand n'importe quoi" réagit à chaud François-Xavier de Boüard. "Les gens qui me connaissent savent qui je suis, pour les autres, c'est de la désinformation" ajoute le dirigeant qui s'étonne que le courrier de Jean-Pierre Mas aux adhérents ait été adressé "un mois" après le sien. Il constate aussi que dans sa lettre le président d'AS Voyages Entreprise "oublie un fait majeur qui a justifié mon départ, c'est la révocation de Philippe de Saint-Victor, alors directeur général du réseau". Aujourd'hui administrateur du réseau, François-Xavier de Boüard ira "jusqu'au terme de son mandat" et souhaite se représenter à la prochaine élection en juin, "si je suis élu, pour la présidence je verrai". Et de dire que la seule chose qui compte, "c'est le bien du réseau et de ses adhérents"

Ce qu'a écrit Jean-Pierre Mas...

Dans un courrier adressé aux adhérents d'AS Voyages mardi 26 février, Jean-Pierre Mas, co-président du réseau, règle ses comptes avec François-Xavier de Boüard, ex-co-président du réseau. Il estime que la "défection ne donne surtout pas au co-président démissionnaire le droit d’écrire n’importe quoi dans une lettre ouverte largement diffusée aux adhérents et aux salariés du siège d’AS Voyages", il y a un mois. Il répond point par point aux reproches qui lui ont été adressés. A propos des indemnités de présence des administrateurs, il rappelle que "depuis janvier 2010, FX de Boüard valide et paye ces indemnités, en tant que Président de la Coopérative. S’il avait eu connaissance de "manquements évidents", il aurait dû les dénoncer. Je l’aurais soutenu. Je suis surpris qu’à quatre mois des élections, il formule autant de critiques à l'encontre d'un conseil d’administration qu'il a présidé pendant trois ans". Pour ce qui concerne "l’enrichissement personnel de quelques-uns qui pourraient faire main basse sur les richesses que nous créons", il estime que "ces propos sont du même tonneau que ceux d’un délégué régional qui évoque "une fusion réalisée au profit de 3 ou 4 affairistes". Des insinuations diffamatoires et perfides qui dénotent un manque absolu de courage : des noms ! Des faits ! Des preuves ! Ou le silence et la honte". Il ajoute que "si FX de Boüard souhaite se livrer à un combat de gladiateurs sur un ring de foire, il ne m’y rencontrera pas. Aux intrigues ourdies dans l’ombre, je préfère la lumière et la vérité. J’ai le sens des responsabilités et de la dignité. Contrairement à ce que laisse supposer FX de Boüard, je n’ai jamais consenti la moindre concession en matière de probité (pas qu’intellectuelle) et d’éthique. Quant à la "morale", qu’il utilise comme bouclier, Napoléon la qualifiait de "passeport de la médisance". Au sujet de "la révocation du directeur général", il affirme qu'elle "n’a pas été votée par un clan mais par une majorité des 2/3 des membres du Conseil d’Administration", et que "les conditions financières du départ ont été encadrées à l’unanimité par le comité des rémunérations". Il ajoute que "le contrat de mandat signé en janvier 2008 par Ph. de Saint Victor et FX. de Boüard prévoyait un "parachute"" et que les "conséquences finales et globales de l’indemnité versée seront, dans les comptes d’AS Voyages Entreprise, de 150.000 euros (après déduction de l’économie de salaire en 2013 et impact de l’IS). Et 105.000 euros dans les comptes de la Coopérative. On est loin du "coût de 700.000 euros" jeté en pâture à la presse". Il dit encore à propos de FX de Boüard, que "reconnaître ses erreurs n’en efface pas les conséquences" et pense que "ce doit être à ce sujet que FX de Boüard, président mandataire social de Selectour Finances, PDG de sa principale filiale, Voyages 31, avoue "j’ai commis des erreurs"". Il termine : "je n’aurai pas la cruauté d’exposer ici les autres "erreurs" du co-Président démissionnaire. Notre réseau mérite mieux. Je ne lâcherai pas non plus sur la place publique ragots, rumeurs et fausses informations qui fleuriront au fur et à mesure qu'approche la date des élections. Mais je serai intraitable à l’égard de leurs auteurs".

Auteur

  • La Rédaction
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