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Production

Fram : Georges Colson sort de son silence

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Georges Colson, président du directoire de Fram, lors d'une conférence de presse à Paris, vient de préciser que le PSE de Fram concerne finalement 60 personnes.
Par ailleurs, il annonce d'ores et déjà une perte pour 2012 de 20 millions d'euros. La situation économique est très tendue pour Fram qui "manque d'oxygène". Le groupe a besoin de 5 millions d'euros "à court terme", et de 10 millions "à moyen terme". Il discute donc avec les banquiers actuellement et se félicite que Fram "n'est pas une maison très endettée" (27 millions). Il ajoute ne pas être opposé à une ouverture du capital à un investisseur extérieur. Il évoque aussi la possibilité de vendre quelques actifs "qui ne sont pas indispensables". Il annonce également que le PSE chez Fram Agences qui concerne vingt personnes "est signé, terminé". En revanche, le PSE chez Fram TO qui concerne 40 salariés "est en cours" et devrait être accepté le 6 novembre prochain. Quant à Olivier de Nicola, l'ex-président du directoire, il a été écarté car il a "dévié de sa feuille de route". Il y a eu "une perte de confiance et de transparence entre lui et moi" alors "il valait mieux se séparer". Georges Colson a aussi annoncé qu'il allait recruter un directeur général pour le seconder. Pas de nom encore, mais "ce sera un enfant du pays" a t-il lâché, "qui connaît à la fois notre métier et notre maison". Quant à l'avenir, cette nouvelle équipe reprendra "le cap" qui a déjà été tracé et tient en trois points : "le retour à l'équilibre(en 2014), le retour aux bénéfices(en 2015) et la reconquête des parts de marché perdues (ensuite)". Cette stratégie sera approuvée "j'espère" par le conseil de surveillance et l'ensemble des actionnaires, "y compris Marie-Christine Chaubet" a-t-il précisé qui fera, espère t-il, "preuve de sagesse". Rappelons que Marie-Christine Chaubet est la demi-sœur de Georges Colson. Ils détiennent chacun 40% des parts de Fram, et se livrent une bataille de succession particulièrement brutale depuis la disparition en 2006 du fondateur du groupe, Philippe Polderman. Enfin, concernant le Snav, il avoue avoir pris une décision et ajoute : "la sagesse voudrait que j'écourte mon mandat".
Fram

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  • La Rédaction
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