Dans un communiqué, dévoilé par Les Echos, Marie-Christine Chaubet, qui a dirigé Fram et qui reste actionnaire, et sa fille, Marie-Odile, se déclarent "consternées" par la "révocation" d'Olivier de Nicola qui avait "toute leur confiance".
Toujours selon Les Echos, elle refuse de siéger au conseil de surveilance, rôle qu'elle n'aurait accepté qu'en présence d'Oliver de Nicola. Ce qui pourrait fragiliser la position d'Alain Faveau, président du conseil de surveillance. De plus, Marie-Christine et Marie-Odile Chaubet affirment avoir "des solutions crédibles pour assurer le sauvetage" de Fram. Enfin, souligne le quotidien économique, les deux femmes se déclarent "opposées à toute gestion hasardeuse qui consisterait à compenser des pertes récurrentes par des cessions d'actifs qui ne pourraient être réalisées en cette période complexe que de manière précipitée et non maîtrisée".
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Marie-Christine Chaubet (Fram) "consternée" par le départ d'Olivier de Nicola
