L'étude du cabinet Raffour Interactif sur les nouveaux comportements des Français pour leurs trajets de loisirs / vacances en Avion montre que les agences en ligne deviennent le 1er moyen de réservation des billets d’avion.
Mais les agences traditionnelles résistent avec 27% des réservations.Parmi les Français qui prévoient de prendre l’avion - ou un forfait de séjour incluant des vols - d’ici la fin de l’année, 41% les réserveront auprès d’une agence en ligne, 27% directement auprès des compagnies aériennes et également 27% auprès d’un agence de voyage physique, 12% auprès d’un tour opérateur et 2% via leur comité d’entreprise. Parmi ces Français qui vont prendre l’avion cette année, la facilité d’accès à l’aéroport de départ est pour 62% d’entre eux un critère de choix important dans la sélection des vols qu’ils vont réserver Pour se rendre à l’aéroport, le moyen de transport choisi en priorité est l’accompagnement par un proche. Parmi les Français qui prévoient de prendre l’avion cette année, 40% choisissent en priorité l’accompagnement par la famille ou les amis, 30% leur véhicule personnel laissé ensuite au parking, 20% les transports en commun et 9% les taxis ou les VTC.
Parmi les Français qui ont pris l’avion au cours des 3 dernières années, 48% sont favorables à l'utilisation d'ordinateurs, smartphones et tablettes, non mis en "mode avion", pour ainsi pouvoir téléphoner, envoyer des e-mails, surfer, jouer… pendant toute la durée d'un vol, mais à la condition que ces usages soient en mode silencieux. 42% s’opposent à ces utilisations qu’ils trouvent dérangeantes
De façon spontanée, en question "ouverte", lorsque l’on demande aux Français qui ont pris l’avion ces trois dernières années ce qu’il faudrait améliorer, les trois items les plus cités sont : diminuer les temps d’attente pour les bagages, augmenter le confort à bord et la ponctualité des vols. Plus précisément, il s'agit de diminuer les temps d'enregistrement, d’embarquement et de récupérations des bagages ; augmenter le confort à bord en diminuant l’exiguïté des places ; et diminuer les retards au décollage et à l’atterrissage.