Après Uber, Allocab dénonce l’agression de plusieurs de ses chauffeurs à Marseille, Nantes et Paris et appelle au retour au calme.
"L’agression et l’intimidation ces derniers jours de plusieurs de nos chauffeurs à Marseille mais aussi à Nantes et Paris sont inadmissibles. Les vidéos diffusées et partagées sur Internet et les médias sociaux ont joué un rôle de catalyseur. L’amalgame entre les chauffeurs Pop et les chauffeurs professionnels de VTC ne facilite pas le dialogue qui doit pourtant être renoué pour la sécurité de tous" estime Yanis Kiansky, président et co-fondateur d’Allocab. Il convient "de rappeler que dans un Etat de droit des actes d’une telle nature sont fortement répréhensibles. De surcroît, ces actions illégales nuisent à la sécurité des passagers qui font confiance à Allocab ainsi qu’au développement économique auquel contribue d’une manière significative le secteur des VTC".
Allocab souhaite rappeler, "à titre informatif", qu’elle n’a pas eu jusqu’à aujourd’hui recours à des chauffeurs "particuliers transportant des particuliers" dit Pop, "dans l’attente d’une clarification juridique ou législative".