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Transport

Les VTC (Grande Remise) sont en colère et ne se laisseront pas faire

Pour la Fédération des voitures de tourisme avec chauffeur (ex Grande remise), la bataille entre les taxis parisiens et la société Uber ne doit pas se faire aux dépens des VTC (Ex Grande Remise).Pour la CSNERT et le GTPVT, organisations professionnelles historiques représentant les VTC issus de la grande remise, "face à un tour de passe-passe de dernière minute, caché mais présenté in-extremis par voie d’amendement déposé par le médiateur-rapporteur lui-même", la loi "favorise ostensiblement les taxis".
 Imposer "le retour à une "base" entre deux missions est un non-sens à plusieurs titres.  C’est irréaliste : "il est impossible de faire un aller-retour en une heure entre deux missions. Les VTC sont souvent des exploitants indépendants, travaillant seuls, ils ne pourront plus servir qu’un client sur deux !" C’est anti-économique : "cela impose de doubler tout trajet par un déplacement à vide systématiquement, avec l’impact direct sur les coûts de revient (carburant , temps chauffeurs,…) et sur la perte de chiffre d’affaires (véhicules indisponibles….. ). En outre, les lieux de garages devraient être considérablement augmentés". C’est anti-écologique : "les aller-retours, à vide, nuisent à la pollution, à l’engorgement du trafic, à l’usure des véhicules et des pneumatiques….". C’est anti-concurrentiel : "les taxis travaillant aussi sur réservation ne se voient pas soumis à cette obligation. Ils se trouvent donc en situation d’avantage compétitif parfaitement injustifié".  C’est incontrôlable : "les forces de l’ordre ont sans doute mieux à faire , notamment en consacrant leurs moyens à déloger les clandestins et autres voitures sans aucune autorisation qui violent les règles de droit les plus élémentaires, sans contribuer en aucune façon au "bien commun" (pas de taxes, pas de cotisations sociales, etc…..)". Les organisations affirment : "nous ne laisserons pas mourir nos entreprises et licencier des centaines de chauffeurs parce que plusieurs ministères n’arrivent pas à trouver une position équilibrée entre les taxis et les VTC. Si, pour se faire entendre par les parlementaires et le gouvernement, il faut – comme les taxis – faire des opérations médiatiques aux abords des aéroports, des aérogares, nous le ferons pour défendre nos entreprises et nos emplois".

Auteur

  • La Rédaction
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