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Destinations

L'avenir de Boiloris passera par Jet tours

Boiloris porte à 24 le nombre de ses points de vente.

Reprise de deux nouvelles agences Jet tours à l'étude.
Mise en place d'un plateau d'affaires pour les PME.
L'ouverture d'une agence Thomas Cook à Paris avenue de l'Opéra à côté de l'ancienne agence Planète Thomas Cook par le réseau Boiloris est la confirmation que les agences de voyages "en dur" attirent toujours les investisseurs. Et c'est une bonne nouvelle pour le secteur. Boiloris porte donc à 24 le nombre de ses points de vente (17 enseignes Jet tours, 4 enseignes Fram, 1 plateau Internet à Vannes et 2 agences Thomas Cook). Et à ceux qui s'étonnent d'une telle diversification de marques, Didier Munin, le PDG de Boiloris, tient à apporter quelques précisions sur sa stratégie. "J'avais constaté la fermeture de Planète Thomas Cook, et je me suis évidemment intéressé à cette zone de chalandise. Je la connais très bien car nous y avons depuis cinq ans une agence Jet tours Boiloris". Et, explique-t-il, "comme de toute façon un concurrent se serait installé ici pour prendre la place vacante, autant que ce soit nous". De plus, poursuit Didier Munin, "il sera intéressant d'observer les différences de comportements entre les clients de l'agence de marque TO et ceux de l'agence de marque distributeur". Dans la foulée Boiloris a également repris une seconde agence Thomas Cook à Lagny-sur-Marne (77). Si cette stratégie est cohérente, Didier Munin veut tout de même rassurer son partenaire prévilégié : "je reste fidèle à Jet tours, et ma volonté est de continuer mon développement sous cette enseigne" (2 projets sont à l'étude en Ile-de-France). Pour ce faire, Didier Munin et ses équipes
ont mis en place deux structures, Boiloris Jet tours (qui regroupe les agences du même nom) et Boiloris Développement (qui rassemble les agences Thomas Cook et sans doute bientôt les agences Fram). Par ailleurs, Boiloris regarde aussi vers l'avenir et veut développer la billetterie "affaires" avec la mise en place courant 2006 d'un nouveau plateau consacré aux voyages des PME à Paris. Il veut aussi développer son plateau Internet en Bretagne qui sera capable d'aiguiller toutes les demandes (Internet, affaires, tourisme, etc.). Quant à l'avenir des agences traditionnelles, la concurrence d'Internet n'effraie pas Didier Munin qui file la métaphore : "Dans les années 70, les automobilistes voulaient faire des économies en faisant leurs vidanges eux-mêmes. Cela semblait tellement simple ! Du coup les ventes de bidons d'huile ont explosé dans les supermarchés. Puis, les clients, sans doute lassés d'avoir les mains sales et gluantes, sont revenus dans les garages. Dans le tourisme s'est pareil. Internet c'est encore nouveau mais d'ici quelques années, les clients vont se lasser. Ils en auront assez de traîner sur Internet pour acheter un voyage. Ils préfèreront payer 25 euros pour que quelqu'un se charge de ce travail". CQFD.
Jet tours

Auteur

  • La Rédaction
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