Campagne de communication en 2006.Montée en gamme des produits.Premier label à être reconnu par le ministère du Tourisme en 1997, Clévacances a évolué jusque-là dans l'ombre des Gîtes de France, son principal concurrent.
Aujourd'hui, le réseau, fort de ses 27 000 hébergements répartis dans 87 départements, est prêt à se mettre davantage en avant. "Nous avons structuré notre réseau pendant dix ans. Désormais, nous sommes présents partout et à tous les prix", souligne Jean Boyer, le directeur général. Et le réseau veut le faire savoir. Une campagne de communication grand public va être mise en place pour passer, en cinq ans, "d'un statut de label à un statut de marque". Clévacances avoue même avoir l'ambition de devenir "le spécialiste de la location en France" en s'appuyant sur des taux de satisfaction très élevés, avec deux clients sur trois fidélisés. Pour attirer les autres, le réseau prévoit de mettre en place, l'an prochain, plusieurs thématiques autour de divers produits insolites et de nouvelles prestations haut de gamme qui "ne sont pas assez mises en valeur aujourd'hui", selon Jean Boyer. Celui-ci ajoute que "deux tiers des départements ont des politiques de rénovation financées par les conseils généraux". Celles-ci viendraient donc en complément de la démarche qualitative engagée par Clévacances depuis ses débuts. "Pour adhérer à notre réseau, le propriétaire doit répondre à plusieurs critères portant sur l'aménagement intérieur et extérieur de son habitat. Et, surtout, il doit être irréprochable sur la qualité de son accueil. A l'arrivée, seul un hébergement sur quatre visité sera labellisé", assure t-il. Un niveau de confort de une à cinq clés lui sera alors attribué, pour un coût annuel de cotisation variant de 100 à 300 euros.
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