Malgré son dynamisme et un chiffre d'affaires en constante progression, la partie réceptive de KTS France souffre de ne pas être aidée pour conquérir de nouveaux marchés étrangers.
"La France a un potentiel de développement incroyable au niveau de l'incoming. Elle pourrait être vendue quatre fois plus", estime Adeline Kurban Fiani, DG de KTS France. Mais conquérir des marchés étrangers coûte cher et sachant que cette activité profite au PIB français (dont le tourisme représente 6 % selon un rapport récemment remis par le Conseil national du tourisme à Frédéric Lefebvre), les responsables de KTS France aimeraient être soutenu financièrement par les pouvoirs publics lors de leur participation à des workshops à l'international. Autre difficulté, "notre métier est méconnu, même parfois par les directeurs des ventes des hôtels qui ne font pas toujours la différence entre un grossiste, un TO, un réceptif et une agence de voyages, cela rend la tache compliquée pour la négociation des tarifs", explique Christophe Le Floch, directeur de ventes de KTS France.
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