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Production

Un aperçu du Sénégal autour du CXlub TUI Coralia Baobab

Du 11 au 14 octobre, le groupe TUI a invité 70 agents de voyages (tous réseaux confondus) à participer à la réouverture du Club TUI Coralia Baoab, près de Saly, qui vient d’être entièrement rénové.
L’occasion de redécouvrir un coin de paradis entre plage et lagune aux oiseaux, juste avant le lancement de la saison, début novembre.
Depuis son rachat par le groupe Accor en 1997, le Coralia Club du Baobab n’avait jamais été aussi resplendissant. Après avoir fait peau neuve en mai 2004, il s’apprête à accueillir les clients de TUI France qui vont affluer dès le mois de novembre. Le TO français cherche à consolider sa position sur la destination mais sans empiéter sur le marché de Nouvelles Frontières, avec qui il a fusionné en 2002. TUI s’est engagé sur l’hôtel-club du Baobab en exclusivité depuis janvier 2004, mais "attendait la réalisation des travaux de rénovation pour annoncer sa réouverture" explique Gilles Delaruelle, directeur commercial et marketing du groupe. C’est chose faite, et des 104 chambres, doubles, triples ou quadruples avec lits superposés, réparties sur les bungalows en bord de mer, au restaurant aéré avec vue sur la lagune et sur la plage, en passant par la piscine à débordement et le bar, entièrement rénovés, le Baobab vit une deuxième jeunesse. Le toit en feuilles de bananiers tressées, les bungalows en pisé et toit de paille, le buffet mettant à l’honneur épices et senteurs locales, la vue sur le site naturel de la Somone depuis le restaurant aux larges baies vitrées… l’hôtel respire et se met aux couleurs de l’Afrique, revalorisant du même coup son exceptionnel environnement. Les 70 agents de voyages invités ont pu profiter de ce cadre enchanteur pour s’acclimater à la douceur de vivre sénégalaise, et goûter aux joies de la légendaire hospitalité locale : la "téranga". Des "Tuiades" (olympiades TUI) étaient organisées par l’équipe de loisirs du Baobab, toujours chaleureuse et prête à entraîner les clients dans des activités aussi variées qu’exotiques : cours de djembé, de wolof (la langue parlée par la majorité des Sénégalais, avec le français), de danse ou de cuisine africaines. Ou d’autres, plus classiques comme la plongée, le ski nautique, la gym aquatique, le volley ou la pêche sportive. Dirigée par le jeune et dynamique directeur marocain de l’hôtel, Rachid Bentahar, cette équipe est d’une efficacité et d’une gentillesse à toute épreuve… Surtout quand il s’agit de chauffer la piste de danse ! Certaines ont ainsi pu tester in situ la danse sénégalaise, le mbalax, se mouvoir aux rythmes endiablés du zouk et de la salsa grâce à l’orchestre du Baobab, ou s’essayer à la "danse du ventilateur"… qui consiste à se déhancher les fesses sans bouger le reste du corps ! Cet éductour était un tel événement pour le monde du tourisme sénégalais qu’une soirée de gala fut organisée en notre honneur en présence du ministre du Tourisme. L’OT du Sénégal avait offert à chacun et chacune des participants un boubou traditionnel, revêtu pour l’occasion : avec le buffet géant sur la plage, la course de crabes et les danses et chants rituels des différents ethnies sénégalaises (peule, sérère et wolof), ce fut le clou du séjour ! Quelques excursions le lendemain nous donnèrent un bref aperçu de l’intérieur des terres et de la réalité sénégalaise, avec la sortie "brousse et villages", entre baobab sacré et villages peuls et sérères, ou la visite de l’île de coquillages de Joal-Fadjout (au-delà de la station balnéaire de Saly et du port de Mbour) avec l’agence réceptive Tourisme Plus Afrique, ou encore, pour les plus intrépides, quelques sorties en quad autour de la Somone… Puis il fallut se diriger vers l’aéroport ! Atteint en à peine une heure et demie, grâce à la réfection récente de la route entre Saly et Dakar, où nous étions attendus par l’autre grand partenaire de cette opération, Air Sénégal International. Retour vers Paris, et la perspective d’un climat et d’une ambiance nettement moins attrayants !
Le TO propose plusieurs formules de voyages dans le pays
Au Sénégal, TUI c’est des séjours loisirs en hôtels-clubs soit au Coralia Club Baobab (3*) près de Saly, dans le parc de la Somone, avec un Baboo village pour les enfants (825 E TTC en demi-pension), soit à l’hôtel Royam (4*), également sur la Petite Côte (850 E) ; un séjour farniente à l’hôtel Neptune (5*) à Saly (865 E) et un combiné étapes intitulé "Baobab, dunes et Saloum" avec un séjour de 4 nuits au Baobab et un mini-circuit de 3 nuits (980 E en demi pension et pension complète). Mais le TO a aussi un circuit classique "Brousse et villages" de Saint-Louis à Sine Saloum en passant par Dakar et le désert de Lompoul (1 090 E en pension complète) et enfin un circuit authentique "Chasseurs d’images" à la découverte du Sénégal pour amateurs de photos et vidéos, à travers un circuit complet et varié (970 E en pension complète). Les vols sont assurés par Corsair, partenaire aérien de TUI, tous les samedis (en saison) au départ de Paris et de six villes de province (supplément de 80 E) : Bordeaux, Mulhouse, Marseille, Lyon, Nantes et Toulouse, à certaines dates.
La stratégie touristique du groupe TUI au Sénégal
"Le Sénégal est la 9e destination de Nouvelles Frontières et la 2e, après la Réunion, pour la zone Afrique (subsaharienne), avec 35 000 passagers, répartis entre packages circuits et séjours",, explique Bernard Semrani, directeur de la zone Afrique et océan Indien pour le groupe NF-TUI France. "La destination arrive en 6e position pour l’ensemble du groupe TUI, mais devrait grimper à la 3e place pour l’année à venir, avec, entre autres, la réouverture du Coralia Club Baobab, entièrement rénové, début novembre." Ce "nouveau" beau produit est en effet à même, selon Bernard Semrani, de relancer significativement la fréquentation de la destination, en baisse ces dernières années. On comprend donc l’engouement des autorités sénégalaises face à cette opération de communication du tour-opérateur qui a invité 98 personnes, dont 70 agents de voyages, au nouvellement nommé "Club TUI Coralia Baobab". De l’accueil en musique par la presse et les danseurs à l’arrivée de l’avion au dîner de gala en boubous offerts par l’OT du Sénégal, en présence du ministre du Tourisme et des Transports sénégalais, rien n’a été laissé au hasard. Et ce n’est pas la récente campagne de publicité, réalisée conjointement par le ministre du Tourisme et certains TO français, dont TUI, qui prouvera le contraire. Cette implication touristique des autorités du pays est peut-être aussi à l'origine du partenariat ponctuel avec Air Sénégal International alors que le groupe NF-TUI France possède sa propre compagnie aérienne…
TUI

Auteur

  • La Rédaction
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